Un, deux, trois, nous irons au bois...
Toujours à la poursuite de mes souvenirs ce matin, je suis retournée au bois de QuerquevilleQuerqueville.
Espoir était beaucoup plus détendu que les semaines passées, il s'habitue sans doute à sa nouvelle vie. On s'est promené tranquillement sur l'épais tapis de feuilles mortes qui tapisse le sol au pied des châtaigniers.
J'ai reconnu des chemins et des sentiers, arpentés il y a des années avec les chers poneys qui m'ont appris à monter. J'étais petite à l'époque, et mes montures l'étaient aussi, du coup mes souvenirs sont un peu démesurés, je vois bien que les montées interminables d'autrefois sont de tout petit galop à mes yeux d'aujourd'hui.
Pour finir la sortie en beauté, nous avons été galopé sur la plage. Espoir était très agréable, il n'a pas cherché à me prendre la main. On a couru gentiment après les mouettes avant de rentrer.